La maîtrise du français, tant à l’écrit qu’à l’oral, est devenue un critère fondamental des recruteurs — devant la maîtrise de l’anglais. Des lacunes dans l’expression en français diminuent fortement les chances d’être recruté ou d’obtenir une promotion. Pour une grande majorité de recruteurs, les fautes d’orthographe et de grammaire sont rédhibitoires.
En effet, dans un contexte de numérisation de l’économie et de recours au télétravail, la communication écrite prend de plus en plus d’importance, et les entreprises ont besoin d’employés faisant preuve d’aisance rédactionnelle. Une mauvaise expression écrite dégrade l’image de l’entreprise, mais peut également nuire à la qualité des produits, ce qui représente un coût pour l’entreprise.
Devant la baisse du niveau en français que les entreprises remarquent chez les jeunes diplômés, la formation continue des salariés se développe.